Les élans

Se taire un peu, laisser les élans en suspens.
Redonner place à l’étrangeté, à ce qui assèche le langage, lui permet de trembler à nouveau.
En ce lieu, nous nous trouvons. Mieux : nous cessons de nous chercher.
Ne pas dire est parfois une violence, souvent un sens donné au réel qui se refuse.
Ainsi va Andernos, sous mes pieds.

Précédent
Précédent

L’heure

Suivant
Suivant

Portrait-robot