Les élans
Se taire un peu, laisser les élans en suspens.
Redonner place à l’étrangeté, à ce qui assèche le langage, lui permet de trembler à nouveau.
En ce lieu, nous nous trouvons. Mieux : nous cessons de nous chercher.
Ne pas dire est parfois une violence, souvent un sens donné au réel qui se refuse.
Ainsi va Andernos, sous mes pieds.